vendredi 29 mars 2024
Samy Rabbat

Samy Rabbat

Je suis un «réseauteur dans l’âme» et je suis en charge du développement des affaires dans les réseaux de l'agroalimentaire, des alcools et de l'hospitalité (HRI-HORECA). Mes objectifs sont de vivre en très bonne santé financière, en équilibre et en harmonie. Lire la suite...

Vous voyez cette bannière depuis un certain temps sur le site SamyRabbat.com:

samy clinique de Santé voyage Horizon
Après les avoir rencontrés à la clinique de Santé voyage Horizon à Terrebonne, j'avais convenu avec les propriétaires que je comptais me faire vacciner.

Voici la chronique sur la clinique Voyage Santé Horizon écrite le 27 juin dernier.

Leur recommandation a été d'avoir les trois vaccins de base:

1. Hépatite A

2. Hépatite B

3. Tétanos

En récapitulation:

L'HÉPATITE A

L'hépatite A est une maladie grave du foie que les voyageurs peuvent contracter même dans les destinations de voyage populaires comme les Caraïbes. Le virus peut se trouver dans les aliments et les boissons qui ont été contaminés par une quantité microscopique de matières fécales. Le virus de l'hépatite A peut survivre à l'état sec pendant au moins une semaine dans des conditions normales et peut survivre jusqu’à 10 mois dans l'eau.

Voici quelques façons possibles de contracter l'hépatite A en déplacements:

  • Des aliments manipulés par un employé de restaurant infecté.
  • Des fruits de mer ou des crustacés crus ou insuffisamment cuits provenant d'eaux contaminées.
  • Des fruits et légumes frais (par exemple de la laitue) rincés avec de l'eau contaminée.
  • Des glaçons faits avec de l'eau contaminée.
  • Une ingestion d'eau contaminée pendant un bain, une douche ou une baignade.

Source: Clinique Santé Voyage Horizon

L'HÉPATITE B

L’hépatite B est une infection hépatique potentiellement mortelle causée par le VHB. Elle représente un problème de santé publique majeur. Elle peut prendre une forme chronique et exposer les malades à un risque important de décès par cirrhose et cancer hépatique.

On dispose depuis 1982 d’un vaccin contre l’hépatite B. Ce vaccin est efficace à 95% dans la prévention de l’infection et du développement d’une hépatite chronique et d’un cancer du foie dû à l’hépatite B.

  • L’hépatite B est une infection virale qui s’attaque au foie. Elle peut être à l’origine de maladies aiguës ou chroniques.
  • Le virus se transmet par contact avec le sang ou d’autres fluides corporels provenant d’une personne infectée.
  • Environ 240 millions de personnes souffrent d'une infection chronique par le virus de l’hépatite B (définie comme la positivité pour l’antigène de surface de l’hépatite B pendant au moins 6 mois).
  • Plus de 686 000 personnes meurent chaque année année des suites d’une infection par l’hépatite B notamment de cirrhose ou de cancer du foie.1
  • L’hépatite B est un risque professionnel important pour le personnel de santé.
  • Il est possible de prévenir l’hépatite B avec le vaccin sûr et efficace dont on dispose actuellement.

Source: OMS

LE TÉTANOS

Le tétanos est une affection provoquée par une toxine nerveuse produite par la bactérie Clostridium tetani, de la même famille que les bactéries qui causent la gangrène et le botulisme. Il représente toujours un sérieux problème de santé publique mondial, tuant plus de 500 000 personnes par année.

Cependant, dans les pays développés, l'introduction d'un vaccin dans les années 1950 a presque éradiqué cette maladie. Les cas de tétanos qui surviennent se produisent souvent chez les personnes qui n'ont pas été vaccinées ou qui n'ont pas reçu de rappel antitétanique, car la protection du vaccin diminue avec le temps.

Le Canada ne recense de nos jours que 4 cas en moyenne par an. Depuis 1980, 5 personnes seulement sont décédées du tétanos dans ce pays.

Source: Santé Chez Nous

J'ai appelé au numéro inscrit sur la bannière, mentionnant que je désirais me faire vacciner à la clinique de Brossard. Une heure plus tard, une infirmière me contacta par téléphone pour me demander si je partais en voyage en urgence. Je lui répondis par la négative et on prit un rendez-vous. Une semaine avant le rendez-vous, j'ai reçu un courriel de confirmation, suivi d'un appel de l'infirmière en question.

Lors de ma rencontre, elle me fit remplir un formulaire classique, que tout préposé en santé nous font remplir, me posa des questions sur mes habitudes de voyages. Le tout prit 15 minutes et après m’avoir donné les possibilités de contre-effets, elle me piqua tellement en douceur, que je ne sentis rien du tout. Elle me donna rendez-vous un mois plus tard, pour la deuxième séance du vaccin de l’hépatite B, et encore une fois, le tout ne prit que 10 minutes. Pour le moment, ces prises de vaccins ne sont pas sur notre dossier médical, mais en février 2017 elles le seront. En fait, pas besoin d’une prescription médicale pour se faire vacciner.

Mon prochain rendez-vous est en février 2017. Maintenant j’ai mon carnet de vaccination du voyageur, que je prendrai lors de mon prochain voyage, car certains pays l’exigent avant d’entrer sur leur territoire. Le plus important est que MAINTENANT j’ai l’esprit tranquille. Cela n’a pas de prix.

Voici le lien ICI, pour les tarifs et autres informations.

Comment ai-je pu voyager toutes ces années sans ces protections, il faut croire qu’un ange me protégeait!

Samy Rabbat

jeudi, 27 octobre 2016 17:10

Le temps d'un chroniqueur

Les agences de vins se plaignent de plus en plus souvent que les chroniqueurs ne répondent plus à leurs invitations. Les difficultés de circulation en ville et en banlieue sont en partie responsables.

Lorsqu’il faut compter une heure de voiture pour se rendre à une invitation, cela en fait deux pour retourner à la maison ou au bureau.

Les difficultés de stationnement sont endémiques à Montréal et dans certains endroits, et à certaines heures, le stationnement coûtera une vingtaine de dollars. Même lorsqu’on est chanceux de trouver une place de stationnement dans la rue, il est rare que l’on s’en sorte pour moins de 15 dollars.

Autrefois, à la fin de la dégustation, les agences offraient un bon repas aux chroniqueurs, dans un restaurant de qualité. C’était une façon de les remercier de s’être déplacés, d’espérer qu’ils écrivent une chronique, qu’elles ne payaient jamais, et de ne pas les laisser prendre leur voiture le ventre vide et avec de l’alcool dans le corps.

Aujourd’hui, certaines agences coupent dans les dépenses médias et n’offrent, plus souvent qu’autrement, qu'une collation légère. Au moins les chroniqueurs ne pourront plus dire qu’ils sont traités comme des pique-assiettes, il n’y a rien dans l’assiette.
 
Si le chroniqueur accepte d’écrire une chronique, cela va lui prendre 3, 5, 10 heures de travail, ajoutées au transport et au temps qu’il aura passés dans la dégustation, 5 heures de plus, et ses frais de stationnement; cela revient cher de produire une chronique.

Ces agences, qui s’en tirent avec la seule dépense de quelques fonds de verre de vin, sont mortes de rire.
 
Si les chroniqueurs boudent les dégustations chez les agents de vins, la solution la moins chère et la plus équitable, c’est d’envoyer des échantillons aux chroniqueurs, qui vont les déguster, évaluer leur intérêt, et écrire tranquillement leur chronique dans le confort de leur foyer.
 
Il est vrai qu’il y a des agences qui ont décidé de réduire les frais de ce côté également. Elles prétendent se rendre chez les chroniqueurs avec des bouteilles, parfois ouvertes, leur faire goûter un fond de verre, et repartir avec les bouteilles vers un autre chroniqueur ou restaurateur. L’imagination des agences pour sauver de l’argent n’a pas de limites, mais elles se tirent dans le pied, quant à la visibilité escomptée.
 
Je vous invite à lire ces commentaires d'Alexandre Taillefer, alors que le comédien Marc Labrèche le reçoit en entrevue, dans le journal La Presse du samedi 15 octobre 2016:
 
Marc Labrèche : «Parle-moi de ton rôle de chroniqueur dans les pages de Voir…»
 
Alexandre Taillefer : «Je parle d’un point de vue citoyen et j’essaie d’aborder des sujets qui ne sont pas simples. C’est très compliqué d’écrire une chronique. Je ne suis pas capable d’écrire ça en 35 minutes. Ça peut me prendre jusqu’à 20 heures de réflexion sur un sujet et il se peut que je scrappe tout à la dernière minute. Écrire une chronique une fois par mois, ce n’est pas suffisant pour creuser tous les volets d’une question, mais c’est mieux qu’une clip dans le journal ou à la télé. Je pourrais rester assis dans mon fauteuil, mais je me dis que si je veux changer la société, je peux militer et écrire.»
 
Samy Rabbat

mardi, 15 novembre 2016 13:08

L'estampe de la recommandation de qualité

Il y a 2000 ans, Jésus Christ avait 12 apôtres autour de lui. Aujourd'hui, nous sommes trois milliards de chrétiens dans le monde entier.

Jésus avait su s'entourer d'un conseil des sages, pour propager les bonnes nouvelles. Nous, en 2016, nous continuons à le faire sans même nous en rendre compte, par les recommandations que nous faisons chaque jour dans notre entourage.

Je me suis servi de l'exemple de Jésus Christ, car j'ai évolué dans cet esprit du partage et du soin donné à la qualité de nos relations, tant humaines que professionnelles.

Aujourd'hui, chacun de vous avez une multitude de personnes-ressources autour de vous, toujours prêtes à vous aider, à vous dépanner et à vous diriger vers d'autres directions.

Pour ma part, je suis entouré d'un conseil de personnes-ressources, qui est en quelque sorte un comité virtuel de référence. Avant de recommander une personne ou une entreprise, je m'assure que la personne qui aura mon contact sera bien renseignée, bien servie, et que les parties seront satisfaites l'une de l'autre.

Il y a une grande différence entre la référence et la recommandation.

La référence est donnée en général, sans implication émotionnelle de la personne qui donne l'information.

La recommandation est faite avec beaucoup plus de liens émotionnels et professionnels. La recommandation est de qualité, une sorte d'estampe de garantie de satisfaction.

samy Stamp Recommandation de qualite2

Pour ma part, les recommandations que je fais dans le cadre de ma vie personnelle et professionnelle ont ce sceau de qualité dans ma parole et dans les suivis avec les personnes à qui je les donne.

Une bonne réputation et une crédibilité prennent des années à se forger et quelques secondes à les démolir ou à les écorcher.

La morale est qu'il faut sans cesse être en alerte, en ne baissant jamais les bras, afin d'être toujours prêt à s'aider soi-même et son prochain, dans la mesure du possible.

Samy Rabbat

Diane Trudel m’a invité dans son studio, afin d’en connaître un peu plus sur ma vie personnelle et professionnelle.

Voici l’entrevue

Nicolas Galy, fils de vigneron depuis 4 générations dans le Languedoc-Roussillon à Perpignan, est un nouveau joueur dans le décor vinicole du Québec et du Canada.

Il a fait ses classes en Europe, dans le vignoble familial (Domaine Galy) jusqu’à ses 18 ans, aux côtés de son grand-père Jo Galy et de son père Christian Galy, ainsi qu'a travers différentes expériences viticoles en Espagne (Madrid) et en Argentine (Mendoza), puis dans la puissante industrie des spiritueux avec DIAGEO en Irlande et en Espagne, pour finalement aboutir au Québec.

samy Nicolas Galy
En arrivant au Québec, il y a presque quatre ans, il a parcouru le chemin du combattant en travaillant comme cuisinier dans un restaurant de l'ouest de Montréal, puis chez l'Oréal Canada en tant que directeur national et de fil en aiguille, il s’est retrouvé directeur commercial pour tout le Canada, ayant comme patron direct nul autre que GÉRARD BERTRAND.

Fervent défenseur du biodynamisme, Nicolas Galy, et ne pas confondre avec Nicolas Joly, parle avec ferveur du travail de la vigne. Autant il est passionné pour ce travail de la terre, autant il l’est pour la pêche à la mouche depuis son enfance, que pour le rugby, qu'il a pratiqué au niveau national avec l'équipe de rugby de Perpignan, l'USAP.

Nicolas parle avec cet accent du Sud de la France qui chante et qui est si mélodieux à entendre. Je remercie Gino Mourin, du Restaurant Le Sinclair, de me l’avoir présenté.

Les vins de Gérard Bertrand sont dorénavant représentés au Québec par l’agence de vins Glazer Canada.

LES LIENS :

Roger Huet avec ses chroniques sur Gérard Bertrand :
1. Le souper mystique
2. Trois révélations de Gérard Bertrand
3. Entrevue avec Gérard Bertrand
4. Chroniques littéraires du printemps
5. Le Rendez-vous vinicole de 2014 de Charton-Hobbs
6. Gérard Bertrand chantre du Roussillon

Nicolas Galy
Tél.: 514 882 7848
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Gérard Bertrand
L’art de vivre les vins du Sud

Gino Mourin
Le Sinclair Restaurant

Samy Rabbat

J'ai eu le privilège de présenter Guillaume Blisson, Directeur des ventes du Canada & Œnologue pour le groupe Gabriel Meffre à Sylvain Haut, du Domaine des Salamandres.

Guillaume a pu ainsi goûter aux produits du Domaine des Salamandres:

1. Le classique Poiré de glace
2. L'édition limitée Poiré de glace
3. La cuvée Tabarnak Poiré de glace

samy domainedessalamandres

Durant la dégustation, j'ai expliqué à Guillaume Blisson que la Cuvée Tabarnak avait été acceptée au point vue du produit (dégustation), ensuite la SAQ a approuvé l'étiquette, passé une commande de Poiré de glace Cuvée Tabarnak et une fois à l'entrepôt, quelqu'un n'a pas aimé le nom de la Cuvée.

Après quoi Sylvain nous raconta qu'il est entré dans une succursale et qu'il aperçut une bouteille de vin portant le nom de Fat Bastard... «Tabarnak, comment ça la SAQ a accepté ce nom de vin et qu'elle a refusé le nom de mon produit?»

Guillaume lui répondit qu'il représentait ce vin, et Sylvain s’exclama: «Hein, c’est toé qui représente Fat Bastard? Ah ben Tabarnak!», et nous nous sommes mis à rire tous les trois à gorge déployée.

samy fatbastard

samy sylvainhaute guillaumeblisson

De gauche à droite: Guillaume Blisson, Directeur des ventes du Canada & Oenologue pour le groupe Gabriel Meffre et Sylvain Haut, du Domaine des Salamandres.

Inutile de dire que Guillaume promit à son nouvel ami de le visiter à Hemmingford. Je rigole encore de cette situation inusitée, qui a eu lieu au salon Je t'aime en chocolat, la semaine dernière.

Les liens utiles:

Groupe Gabriel Meffre

Domaine des Salamandres

Samy Rabbat

Arrivé au Canada en 1957 avec dans ses bagages le métier de négociant en vin, Daniel Farèse a commencé sa carrière comme agent promotionnel, où il participera au développement du goût du vin en introduisant auprès de quelques écoles culinaires les premiers cours sur les vins au Québec. Il sera également le pionnier des dégustations de vins et fromages.

Après plusieurs belles réalisations vinicoles et gastronomiques, la Société des alcools du Québec (anciennement, la Régie des alcools) le sollicite afin de diriger un département très important de l’entreprise.

Daniel Farèse, cet homme de famille, pionnier des vins au Québec, d’avant-garde et d’innovation où cette passion pour le vin occupait une très grande place chez lui, a dirigé de main de maître le service de la sélection des produits de la Société des alcools du Québec et c’est avec brio et détermination qu’il dirigea ce service dans les années 70 et 80, pour ensuite diriger le service des activités promotionnelles où il créa plusieurs projets, dont le célèbre Courrier vinicole.

Cet homme, toujours plein de projets, savait comment les réaliser et leur donner le succès escompté.

La mise en place et la création de grandes réalisations telles que les Opérations Portos et les Opérations Scotch ont propulsé les ventes de ces nectars au sommet de leur ascension, donnant le goût aux consommateurs québécois de les découvrir encore plus.

Cher Daniel Farèse, notre Père adoré

Tu es, et tu seras toujours un Grand Homme

Merci pour tout ce que tu nous as appris et tout ce que tu as fait dans un domaine qui était tout pour toi le magnifique domaine du vin

Bravo pour tous tes accomplissements et projets qui ont changé le commerce du vin au Québec

Tu es un monument de connaissances et d’expériences sans limites

Ton départ va créer un énorme vide autour de nous

Nous garderons en souvenir tous ces beaux moments avec toi

Ton humour contagieux et subtil restera à tout jamais gravé dans nos mémoires

Nous t’aimons de tout notre cœur

Repose en paix

Tes enfants Robert et Patrick

Pour consulter l'avis de décès, svp cliquer ici.

 

NOTE DE L'ÉDITEUR

Daniel Farèse 1924-2017

J’ai eu le privilège d’assister, dans ma jeune carrière, à des présentations faites auprès de monsieur Farèse, et malheur au producteur s'il essayait de raconter des sornettes à ce dernier.

C’était une personne droite, intègre, dotée d’une grande connaissance du produit et détenant un professionnalisme hors du commun.

Pour le rencontrer, il suffisait de l’appeler, même à quelques heures de préavis, et si il était disponible, il recevait les visiteurs étrangers avec ou sans leurs agents.

Ces derniers présentaient leurs produits et monsieur Farèse décidait bien souvent sur-le-champ s'il les introduisait ou non.

Une grande page de l’histoire passée de la Société des alcools du Québec vient de se tourner.

Merci Monsieur Farèse pour ces belles années des débuts de la sensationnelle ascension de la consommation de vins au Québec et merci de nous avoir fait faire d’aussi belles découvertes.

Votre nom restera gravé à tout jamais dans notre mémoire.

mardi, 02 octobre 2007 15:00

L'importance des relations publiques

La part des relationnistes d'expérience dans la promotion de l’actualité ne démord pas, que l’on pense au chef du parti libéral du Canada, M. Stéphane Dion qui va engager une firme de relations publiques pour redorer son image plutôt négative, au sein de son partie et surtout du grand public.

Également, je pense à la gestionnaire du Mont Orford qui engage une firme de relations publiques pour sauver la saison estivale, afin entre autres de ne pas investir en publicité.

N’empêche que l’un ne va pas sans l’autre !

Et en parlant de Relationniste professionnelle, laissez-moi vous présenter une BOMBE du milieu des relationnistes : Caroline Sabbagh

Caroline Sabbagh en ma compagnie, lors de la cérémonie de la remise du Mérite Agricole de la France L’AMOMA

« Le succès d’une campagne repose sur les mots efficacité et confiance !»

Caroline Sabbagh a toujours conduit ses campagnes de relations de presse avec un grand professionnalisme et une redoutable efficacité.

La confiance est importante, car il n’est que trop facile de charger des frais superflus, tout est justifié et transparent. Rien ni personne ne peut l’arrêter, et grâce à ses nombreux contacts dans tous les milieux, et sa grande imagination de création d’évènement, ses campagnes ont toujours été des succès.

Caroline Sabbagh est une valeur sûre pour toute entreprise qui désire percer un marché et se faire positionner dans le monde des affaires. »

C’est ainsi que j’ai pu décrire en quelques mots le dynamisme de Caroline Sabbagh, lorsque cette dernière m’a demandé un témoignage pour son site Webb, qu’elle a monté elle-même
site...

J’ai connu cette bombe alors que je m’apprêtais à partir en exil, soit à l’Institut de Tourisme et d’hôtellerie du Québec, durant trois ans de suite à Montréal. J’écris bien en exil, car nous étions confinés dans les classes de 08h00 du matin à 20 heures le soir durant les trois années de cours.

Sortie de mon exil, alors que je retournais sur le marché du travail, dans le domaine des vins dans les années 80, j’ai eu le plaisir de revoir Caroline qui était attachée de presse dans le domaine artistique lors du lancement du film de SERGIO LEONE: IL ÉTAIT UNE FOIS L'AMÉRIQUE.

Elle avait organisé l'Avant-première mondiale en présence des deux premiers Ministres de l'époque: Pierre-Elliot Trudeau et René Lévesque, un coup de chance unique. Nous étions très surpris de nous revoir après tant d’année, chacun dans son domaine.

En 1989, lorsque j’ai lancé mon entreprise, je fis appel à ses services pour me positionner, j’eu tellement de publicité que les clients dans l’industrie pensaient que Restovin International Inc existait depuis des années, alors qu’elle venait de naître…

Toutes les occasions étaient bonnes pour mousser mes produits de l’époque via l’agence CRÉA COMMUNICATIONS lancé par Caroline Sabbagh.

Puis vint le jour où je devais présenter au Canada un nouveau format en 250 mL notamment dans les provinces du Québec et en Ontario. C'était une première sur le marché de la province.

Nous avions beaucoup d’obstacles sur notre chemin, mais nous avions la chance d’être au bon moment avec les barrages de la Police sur les routes et la recommandation de boire deux verres de vins rouge, pour le cœur.

Le lancement fut tellement retentissant, avec des articles dans tous les journaux, revues, radios que les autres provinces du Canada emboitèrent le pas pour se procurer ces petites bouteilles qui furent un succes story.

Pour préparer le lancement, je fis appel à Feu Jules Roiseux pour former les troupes (télémarketing, représentant, personne attitrée aux expéditions, et représentants mandatées pour cette action, pour un total de 12 personnes) Notre arme secrète étant Caroline Sabbagh qui mit à l'œuvre immédiatement tous ses contacts.

Tout récemment elle a été responsable de la campagne entourant la nouvelle programmation de Couleur Jazz 91,9, la première station de jazz francophone au Canada et de toute la campagne de presse entourant l'instauration du mégaprojet immobilier QUARTIER DX-30 à Brossard.

Une seule phrase pour décrire Caroline : Elle est diaboliquement efficace dans tout ce qu’elle touche. Elle a une mémoire remarquable et elle est très organisée, tout est étudié dans les moindres détails. Comme Caroline le dit souvent ; Mieux vaut prévenir que guérir !

BONNE FÊTE CAROLINE!
Oui c'est sa fête (Anniversaire de naissance) aujourd'hui!
Et FÉLICITATIONS pour tous tes exploits!!!

Sources : www.planete.qc.ca

Dans les années 90, j’avais été invité à Bézier au Château de Raissac, par Christine Viennet artiste libre, spécialiste dans le monde de la faïence en trompe œil.

J’avais connu Christine et son mari Jean Viennet, lors d’un des salons de VINEXPO, et nous avions gardé le contact par le télécopieur et par lettre.

Jusqu’au jour, où j’ai été passé une semaine dans leur magnifique propriété, qui abrite des chambres d’hôtes, des salles de réceptions, un immense jardin, et le musée de la faïence des trompes œil. 

J’ai eu ce grand privilège d’accompagner Christine dans les encan d’antiquités ou son expertise était très souvent sollicitée pour juger les œuvres d’arts. 

Jean son mari, qui est le producteur de ses vins est un artiste dans le style de Dali, à mon humble avis… 

Un soir, Mme Denise Viennet, la maman de Jean vint souper en compagnie d’un ami…Et pour la taquiner, je lui ai demandé ses dates de naissances, sa réaction fut vive : « M. le Québécois, vous n’êtes pas très poli de demander l’âge d’une dame !» et l’ami de regarder la scène avec amusement. 

Mme. Viennet finit par me donner ses dates et je pus la décrire gentiment au grand plaisir de sa belle fille. Vint le tour de l’ami et là encore, je lui donnais les grandes lignes de sa personnalité, sans le connaître. Lorsque je lui ai demandé dans quel domaine, il œuvrait…Il me répondit qu’il était écrivain ! 

Je l’ai taquiné toute la soirée sur les stéréotypes sur les écrivains et évidemment les autres professions. Nous nous quittâmes en nous promettant de garder le contact. 

Le lendemain, alors que je me trouvais à la gare, mon regard fut attiré par le nom de l’ami de Mme. Viennet, sur un livre qui venait de sortir en librairie. 

Je l’ai tout de suite acheté et l’ai lu d’un trait dans le TGV entre Bézier et Paris. Une fois arrivé à l’hôtel d’Albion site...  je me suis précipité sur le téléphone, pour appeler Christine Viennet afin de lui dire que je lui envoyais ce livre par la poste, afin qu’elle puisse le lire à son tour. …Un livre tellement captivant que j’avais lu d’un trait et que je me mordais la langue d’avoir autant taquiné ce talentueux écrivain. 

Aujourd’hui L'écrivain français Jean-Marie Gustave Le Clézio a gagné le prix Nobel de la Littérature en France

Chapeau à ce gentleman!
Texte également paru sur le site : http://www.planete.qc.ca

mardi, 23 septembre 2008 10:22

Michèle Herblin

J’ai rencontré Michèle Herblin lors de ma première visite professionnelle, lorsqu’elle ouvrit son restaurant La Petite Terrasse de Provence, en plein centre-ville de Montréal.

Dès notre poignée de main, je sentis une énergie bien différente de celles de tous les jours, une sorte de rencontre qui me prédestinait à la revoir, pour simplement échanger avec elle, en connaître un peu plus sur elle. Durant des années, elle fut très discrète sur sa vie, même si on avait développé une belle amitié.

Vint le jour où je pris la présidence d’une ONG, soit Cuisiniers Sans Frontières, et je lui demandais de devenir vice-présidente. Du même coup, je lui ai demandé de devenir chroniqueuse sur ce nouveau site.

Elle crut à une farce et sans connaître tous les détails, me confirma sa participation à ces nouveaux défis.

Maintenant je la laisse se décrire…

Je suis née en 1947 dans la région parisienne, une année de grande chaleur et de bonne récolte pour le vin et la lavande. De mes origines campagnardes du Sud de la France, j’ai toujours gardé le plaisir des moments simples… L’art de vivre sous le soleil de Provence à la poursuite de la lumière et du sourire des grandes tables d’amis... le partage et la générosité coûte que coûte... la lutte pour se sortir des conditions difficiles de la vie... et la recherche d’une vérité qui ne passe que par le respect des hommes et de la nature.

J’ai eu la chance de vivre dans une famille unie où la mort d’un père très jeune n’a été dépassée que par la présence d’une mère opiniâtre dans sa volonté de faire éclater nos propres talents... des études à la Sorbonne... mai 68... et des rencontres de personnes extraordinaires dans le bouillonnement des années de reconstruction... 

Après quelques années comme enseignante en collèges et en université, j'ai créé ma propre entreprise de conseil. Mes principales interventions en organisation du travail, en création de concepts commerciaux et en stratégie de développement m'ont permis de parcourir le monde et de connaître la richesse des actions multiculturelles.

La peinture, la cuisine et le tourisme constituent le trio de mes passions... avec le même esprit de rencontre et de partage, de découverte et de respect des cultures. Toutes les femmes et tous les hommes que j’ai rencontrés de par le monde au cours de ma carrière de consultante ont vissé à jamais en moi ce désir insatiable de participer à la grande oeuvre collective pour un monde meilleur.

Et la cuisine dans tout ça?

Les très nombreuses missions de conseil que j’ai effectuées dans les secteurs de l'hôtellerie, de la restauration et du tourisme ont réveillé en moi le goût que ma grand-mère m’avait donné pour la cuisine. Mais c'est la rencontre avec des chefs extraordinaires et les moments privilégiés de la préparation des repas partout dans le monde qui m'ont donné le vrai sens de la cuisine: des odeurs, des couleurs, des saveurs... des produits d’une grande beauté dans des marchés toujours animés... des producteurs passionnés et fiers de la qualité qu’ils offrent... des cuisiniers heureux de transmettre leurs savoir faire... et des repas... des repas où tout se partage, la nourriture, mais aussi les idées et les rêves.

Du rêve à la réalité, j’ai franchi le pas en créant le concept de la Petite Terrasse de Provence, ici à Montréal... et plus de 100 000 clients après, j’ai toujours le même plaisir à servir ma « cuisine du soleil », maintenant en service de traiteur... 

Études et diplômes

- Doctorat de Psychologie Appliquée
- Maîtrises d’enseignement de l’Anglais, et de Sciences de l'Éducation
- Diplôme de marketing
- ...et en cuisine: la grande école de la vie

Depuis 2003 au Québec 

- Présidente de HERBLIN CONSULTING inc, société de conseil, spécialisée en montage et management de projets.
- Propriétaire du concept et de la marque Petite Terrasse de Provence, maître franchiseur, exploitation de la marque pour Le traiteur par Michèle Herblin.
- Chef propriétaire du restaurant Petite Terrasse de Provence à Montréal, de 2003 à 2008.

Michèle Herblin
Petite Terrasse de Provence ®
Traiteur – Chef à domicile
514 570 3682
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