vendredi 19 avril 2024
Tendance: les hard seltzers

Tendance: les hard seltzers

Voici un représentant de la tendance des eaux pétillantes alcoolisées aussi appelées hard seltzer en anglais. Le seltzer c’est de l’eau pétillante. C’est de l’eau à laquelle on a ajouté du dioxide de carbone. Le hard seltzer est du seltzer auquel on a ajouté de l’alcool et des saveurs.

On peut faire notre propre seltzer en mélangeant de l’eau distillée, du sucre, des levures et des nutriments pour levures et laisser le tout fermenter. Il ne restera qu’à y ajouter des flaveurs et du Co2.

Il y a aussi le procédé d’alcomalt, utilisé notamment par Ellipse, qui consiste à fermenter une concoction de céréale sans houblon.

Et, aussi, on peut prendre de l’eau distillée, y ajouter de l’alcool, des saveurs et du Co2 et, voilà! On a un hard seltzer.

Certains hard seltzers sont, par exemple, White Claw, Truly, Barefoot, Mont Rouge, la Dolce Vita, Ellipse.

J’ai reçu en échantillon trois produits Ellipse que j’ai goûtés. Ils sont alcoolisés à 4%, sans sucre ajouté. Liquide parfaitement transparent et goût très faible. L’Argousier était agréable et peut accompagner n’importe quoi. Le seltzer aromatisé au bleuet était, lui aussi, agréable. Par contre, le concombre ne m’a pas plu.

Au point de vue rapport qualité/prix, c’est un peu décevant. Les canettes d’Ellipse coûtent 3$ pour 355 ml. C’est le prix pour les seltzers. Mais si vous vous préparez un rhum et coca, ça vous coûtera 1,68$ pour 400 ml avec 4% d’alcool. Donc vous payez le double pour avoir un seltzer prêt à boire. Personnellement, je n’ai pas trouvé que ça valait la peine.

À propos de l' auteur

On n'est jamais si bien servis que par soi-même.

Alors je suis né d’un père et d’une mère qui sont restés mariés jusqu’à la mort. Moi je me suis marié 3 fois.  J’ai étudié et  obtenu un BAC qui m’a permis d’être bon à tout et propre à rien. Allez comprendre.

Ensuite des études en statistiques et en informatique. J’ai complété ces dernières et me suis lancé, au grand dam de mon père, à fond dans cette science qui, en 1970 était totalement inconnue. En même temps, j’ai fondé mon premier club gastronomique, les Chevaliers de la table ronde, un nom qui nous avait été suggéré par la très aimé et respectée Françoise Kayler. Lire la suite...