Le tourisme durable est sur toutes les lèvres, surtout avec les récents aléas climatiques mettant en relief l’urgence d’agir, au Québec comme au Canada et à l’international.

Pour rappel, voici d’ailleurs la définition de tourisme durable selon l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) :

«Un tourisme qui tient pleinement compte de ses impacts économiques, sociaux et environnementaux actuels et futurs, en répondant aux besoins des visiteurs, des professionnels, de l’environnement et des communautés d’accueil.»

Si le consommateur souhaite voyager de manière responsable, encore faut-il que l’industrie lui propose des expériences et des forfaits misant sur les principes sous-jacents du tourisme durable. C’est dans cette perspective que l’ARF-Québec a conclu une entente avec TravelLife en novembre 2022.

L’objectif? Dans la foulée de l’adoption d’une Charte en tourisme durable et responsable pour le secteur de la distribution du voyage, l’ARF-Québec accompagne ses membres vers un processus de certification comme association écoresponsable afin de fédérer ses membres et agir vers cette transition.

Les mesures mises de l’avant

Pour Yoann Ronsin, président de Sentiers Privés, le tourisme durable consiste à «pouvoir offrir à leurs clients des solutions les plus pertinentes et efficaces capables de répondre à leur niveau d'attente. On ne peut toutefois pas obliger le client final à opter pour nos suggestions et nos recommandations, on ne peut que suggérer… ce qui n’est pas toujours évident avec la clientèle de luxe. Quand le client préfère un transfert par jet privé afin d’épargner plusieurs heures de transport et de transferts, notamment.»

Mais alors concrètement, quelles sont les mesures qui peuvent être mises en place par les agences, les grossistes et les réceptifs dans une telle démarche?

Lire la suite: TourismExpress du 30 août 2023