jeudi 25 avril 2024
Le nouveau cauchemar des voyageurs aériens de l’après-crise

Le nouveau cauchemar des voyageurs aériens de l’après-crise

Je pensais faire partie des chanceux dont le passeport est valide jusqu’en 2024. Finalement, je me demande bien si je l’utiliserai d’ici là. Quoiqu’il reste au moins l’auto…

L’aller ou «le bout pas si pire»

— Pardon? 4000$ pour changer ma ville de départ?

— Oui, comme Orlando n’est pas dans le même pays, il y a des taxes et d’autres frais. On va trouver une autre solution.

Les billets pour l’Europe que nous avions achetés, ma conjointe et moi, incluaient l’escale habituelle à Montréal en partant de Québec. Ils avaient été achetés auprès d’un grand transporteur aérien que je ne nommerai pas.

Appelons-le Air Granada pour les besoins.

Or, pour des raisons professionnelles survenues après l’achat de mon billet, j’ai dû changer mon itinéraire pour partir d’Orlando au lieu de Québec. Bon. Vous allez me dire qu’il y a pire que ça dans vie, mais je vous jure que j’étais obligé d’y aller pendant quelques jours.

J’avais donc acheté un billet pour Orlando, mais je n’avais pas le temps, au retour, d’atteindre Québec avant de repartir vers Genève.

La solution pas chère?

Aller à Genève en partant de Montréal au lieu de Québec (évidemment sans me donner de rabais pour le vol Québec—Montréal sauvé) et acheter un billet Orlando-Montréal à 184 dollars américains.

Wow! Je viens de sauver 3800$!

Je ne suis pas un spécialiste des taxes aériennes, mais je trouve ces écarts de prix un peu inquiétants. Pourtant, l’informatique, ça ne fait pas d’erreurs… Me prendrait-on pour une valise?

De toute façon, mon vol est dans deux mois est tout est réglé.

Pas sûr…

Lire l'article complet: Les Affaires du 28 juin 2022