La saison des croisières internationales 2018 est à peine débutée que tout nous indique que nous vivrons à nouveau une excellente saison. La destination Canada-New England, et plus spécifiquement le Québec et le Saint-Laurent, continue de gagner en popularité d’une année à une autre. En effet, des mois de mai à novembre 2018, les différentes escales québécoises accueilleront plus de 475 visites de navires. Ces chiffres, en constante croissance depuis une dizaine d’années, confirment que la destination s’inscrit désormais dans les itinéraires de choix des compagnies de croisières. Encore cette année, une dizaine de navires visiteront l’une ou l’autre des escales pour la première fois, confirmant ainsi un potentiel de renouveau et de croissance future pour la destination du Saint-Laurent.

L’offre de croisières au départ du Québec, de l’un ou l’autre des ports d’embarquement que sont Québec et Montréal, est de plus en plus diversifiée. En effet, il est possible de débuter un voyage à destination de Boston, New York, Îles-de-la-Madeleine, Floride, Cuba, les Grands Lacs, ou même vers l’Europe (Royaume-Uni et Allemagne).

Fait à souligner, nous remarquons également un intérêt grandissant pour les itinéraires en boucle qui débutent et se terminent à Montréal ou à Québec. Ces voyages comptent généralement plus d’escales au Québec, ce qui permet aux voyageurs d’explorer davantage la grande variété de nos offres d’excursions. Ces croisières explorent le Saint-Laurent jusqu’à St-Pierre et Miquelon (France) ou bien se dirigent vers les Grands Lacs.

Grâce à ces programmes, proposés notamment par Crystal Cruises, AIDA Cruises, Plantours et Seabourn, les déplacements vers le port d’embarquement sont simplifiés puisque l’embarquement et le débarquement se font dans la même ville. Les passagers peuvent opter pour la voiture, le train ou l’avion pour se rendre au port désigné. Que ce soit à Québec ou à Montréal, les aéroports se trouvent à moins de 30 minutes du terminal de croisières, la gare de train à moins de 10 minutes et on peut trouver facilement un stationnement de longue durée à proximité du point d’embarquement.

Lire l'article complet sur TourismExpress du 28 mai 2018