jeudi 25 avril 2024
« MA CABANE À LA MAISON », le projet fou de Stéphanie Laurin

« MA CABANE À LA MAISON », le projet fou de Stéphanie Laurin

Les palettes de boîtes en carton et de contenants recyclables s’élèvent jusqu’au plafond dans la salle à manger du Chalet des Érables à Sainte-Anne-des-Plaines. À défaut d’accueillir les clients pour une deuxième année, l’endroit sert d’entrepôt et de centre d’approvisionnement pour les dizaines d’érablières qui participent à « Ma cabane à la maison », une initiative qui est littéralement en train de sauver l’industrie du sirop.

Comme les bonnes nouvelles se font rares, on est allé rencontrer Stéphanie Laurin, la jeune propriétaire de l’érablière, mais surtout la bougie d’allumage de cette opération de sauvetage d’envergure.

« Tu cherches un travail toi? », me demande d’abord une dame en veste à carreaux, pendant que j’attends Stéphanie près de la boutique où l’on vend des produits de l’érable aux clients qui se pointent en personne.

Les palettes de boîtes en carton et de contenants recyclables s’élèvent jusqu’au plafond dans la salle à manger du Chalet des Érables à Sainte-Anne-des-Plaines. À défaut d’accueillir les clients pour une deuxième année, l’endroit sert d’entrepôt et de centre d’approvisionnement pour les dizaines d’érablières qui participent à « Ma cabane à la maison », une initiative qui est littéralement en train de sauver l’industrie du sirop.

Comme les bonnes nouvelles se font rares, on est allé rencontrer Stéphanie Laurin, la jeune propriétaire de l’érablière, mais surtout la bougie d’allumage de cette opération de sauvetage d’envergure.

« Tu cherches un travail toi? », me demande d’abord une dame en veste à carreaux, pendant que j’attends Stéphanie près de la boutique où l’on vend des produits de l’érable aux clients qui se pointent en personne.

Depuis son lancement le 22 février, la population peut se procurer des boîtes repas de cabane à sucre peu importe où elle habite, en allant les récupérer dans les succursales du supermarché Metro converties en points de chute. « 46 600 commandes ont jusqu’ici été passées et le site a reçu 1,2 million de visites en moins de deux semaines », calcule fièrement Stéphanie Laurin, qui court dans tous les sens depuis les balbutiements de cet ambitieux projet. 

Lire l'article complet: Urbania du 12 mars 2021