samedi 27 avril 2024
Entrevue du Vinformateur avec Jérémie d’Hauteville d’OenoQuébec

Entrevue du Vinformateur avec Jérémie d’Hauteville d’OenoQuébec

Récemment j’ai écrit des articles sur divers vignobles québécois (Domaine Labranche, Saint-Pierre Le Vignoble, Vignoble Pomone, Vignoble d’Ovila) qui, coïncidence, ont tous un point en commun. À part de faire de très bons vins, ils font tous affaire avec le bureau d’œnologues-conseils OenoQuébec.

C’est en 2006 que Jérémie d’Hauteville et Richard Bastien tous les deux œnologues ont fondé leur entreprise. Après presque 15 ans, leur bureau conseil fait affaire avec une cinquantaine de producteurs (vins, cidres et alcool du terroir confondus) et de ce fait est le bureau conseil le plus représenté à ce niveau au Québec.

J’ai eu le plaisir de rencontrer Jérémie il y a quelques années au Vignoble Pomone et nous avions convenu qu’un jour je ferais une entrevue avec lui. Mon but était d’obtenir son point de vue sur le développement des vins au Québec. Puisqu’il fait affaire avec une grande proportion des vignerons québécois, qui de mieux placé pour jauger de la situation de la viticulture et de la viniculture dans notre coin de pays.

Avant d’aller plus loin, plusieurs se demandent, mais qu’est-ce qu’un oenologue? Selon L’Union Internationale des Oenologues :

»L’œnologue est le professionnel possédant le bagage technique et scientifique approprié qui suit toutes les opérations, depuis la culture de la vigne jusqu’à récolte des raisins, en passant par la vinification et la mise en bouteille, en supervisant et en déterminant ce qui est nécessaire, y compris pour les différents niveaux de production et les différentes catégories de consommation, afin d’assurer la qualité finale du produit.

L’œnologue est donc le professionnel de référence de la production vitivinicole. Son professionnalisme s’exprime principalement dans la responsabilité et la gestion des réalités œnologiques, avec d’importantes retombées également sur la salubrité et l’authenticité du vin et de ce fait vis-à-vis des consommateurs. »

Lire l'entrevue complète: Vinformateur du 3 juin 2020