Les ventes sont en baisse et la SAQ s’adapte avec la vente, dès le mois de juin, de 100 à 150 produits sur les applis comme Uber Eats ou Skip. Cinq questions pour mieux comprendre avec Jacques Farcy, le patron de la SAQ.
On veut être présent dans ces centres commerciaux virtuels où se trouve beaucoup de monde. Si on ne capte pas ces opportunités-là, on reste sur la décroissance des deux dernières années, une tendance qui touche tout le monde, pas juste le Québec.
Les gens n’ont pas tout le temps envie de faire un détour par la SAQ. Ils veulent pouvoir se faire livrer.
Quelle appli?
C’est sûr que la première qui vient à l’esprit, c’est Uber Eats, mais il y en a d’autres, comme Skip et DoorDash.
Ce ne sera pas Uber Eats pour commencer. On n’a pas choisi de partenaire encore.
Pour être transparent, on annonce nos intentions maintenant. On aimerait être prêt au mois de juin, on cherche le meilleur partenaire pour commencer, on verra ensuite pour l’ensemble des applis.
On n’a pas encore eu de discussions avec les plateformes, ça s’en vient. On a déjà réfléchi à ce à quoi ça va ressembler.