Le père de famille et ancien ingénieur Serge Proulx a cherché longtemps un projet à faire vivre sur sa terre estrienne, acquise en 1998. C’est près de 20 ans plus tard, en 2016, pendant un voyage en Bretagne, que le néocultivateur a trouvé. En s’y familiarisant avec la culture de la figue, il réalise que ce fruit fragile, qui supporte mal le transport, aurait tout avantage à être cultivé localement.
C’est ainsi que, après des années de travail, 18 variétés de figues provenant de plus de 2000 plants poussent dans des serres à la fine pointe de la technologie et à haut rendement énergétique.