Samy Rabbat
Je suis un «réseauteur dans l’âme» et je suis en charge du développement des affaires dans les réseaux de l'agroalimentaire, des alcools et de l'hospitalité (HRI-HORECA). Mes objectifs sont de vivre en très bonne santé financière, en équilibre et en harmonie. Lire la suite...
Les haltes routières au Québec, un échec total!
«Haltes routières: premier PPP, premier échec et gouffre financier.»
Quel plaisir de lire ce titre dans le quotidien La Presse du 11 juin 2014, grâce à la vigilence du site de l'industrie touristique Tourismexpress.
Québec) Montage financier bancal. Rentabilité mal établie. Emplacements mal situés. Risque trop grand pour l'État. Le partenariat public-privé (PPP) sur les haltes routières, le premier lancé par le gouvernement libéral de Jean Charest, est une aventure mal ficelée qui prend les allures de gouffre financier pour l'État.
Dans un rapport, dévoilé mercredi, à l'Assemblée nationale, c'est un regard très critique que pose le vérificateur général du Québec sur ce projet en PPP.
À son élection en 2003, Jean Charest avait fait de cette formule un élément-clé de sa stratégie économique. En juillet 2004, il confiait au ministère des Transports la tâche d'aller de l'avant pour les balises d'un contrat signé, en 2008, avec Immostar pour rénover ou construire en PPP sept aires de service d'une nouvelle génération.
Le document multiplie les exemples de mauvaises projections, dont :
les «dépenses de maintien des actifs [sont] de 17,1 millions $ plus élevées pour le mode conventionnel [146 %] sans justification»; «certaines hypothèses sont peu probables», comme dans le cas du trafic, où il était prévu une hausse de 206 % sur 30 ans, alors qu'elle n'a été que de 24 % de 2000 à 2010.
Le vérificateur général Michel Samson note que le Ministère a établi des haltes routières sans tenir compte de services déjà offerts par le privé. Les installations de Saint-Augustin-de-Desmaures, à proximité de Québec, sont «très peu [utilisées] comme aire de repos», et il ne s'y «trouve ni poste d'essence ni dépanneur».
À la signature du contrat, le partenaire privé devait consacrer 35 millions $ et l'État, 7 millions $. Moins de deux ans plus tard, le Ministère a dû rouvrir un accord censé couvrir trois décennies et injecter, seul, 4 millions $, en raison de retards dans la délivrance de permis.
Le vérificateur général souligne que des négociations ont dû être conduites «avec le candidat sélectionné» sur le montage financier et le partage des risques. «En raison des garanties de revenus accordées et du risque financier supporté par le Ministère, il aurait été normal qu'il puisse profiter de redevances plus importantes si le projet est plus rentable.»
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NOTE DE L'ÉDITEUR
Celà fait des années via mes chroniques sur le site de planete.qc.ca et celui-ci que je dénonce l'inaction des gouvernements suite à leurs promesses d'établir des haltes routières convenables, propres et adéquates le long de nos autouroutes.
Les organisateurs de «Bordeaux fête le vin à Québec» très surpris par la vive participation des licenciés
Avec son programme « Escale de l’été », le CIVB, Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux, veut montrer que les vins du Bordelais ont toute leur place sur les tables estivales.
À l’occasion de la manifestation « Bordeaux fête le vin », du 26 au 29 juin prochain, 87 partenaires (cavistes, restaurants et grandes surfaces) vont mettre en avant des bordeaux légers et aromatiques, dans les trois couleurs.
C'est une première. Cette année, du 26 au 29 juin, « Bordeaux fête le vin » ne va pas être cantonné aux quais, le long de la Garonne. Pour sa neuvième édition, la manifestation va gagner 24 cavistes, 27 grandes surfaces et 36 restaurants de l'agglomération bordelaise. La grande fête des vins de Bordeaux était l'occasion rêvée de lancer l'opération « Escale de l'été » qui vise à montrer aux consommateurs que les vins de Bordeaux ont parfaitement leur place sur la table estivale...
« Nous voulons faire découvrir des vins de l’été, des Bordeaux gourmands et légers, au travers de plusieurs manifestations. La première escale est celle de Bordeaux fête le vin », indique Roland Quancard, président de la commission promotion du CIVB. « C’est lors du « Bordeaux fête le vin » organisé à Québec que nous avons été bluffés en voyant que les restaurants participaient à la manifestation. Leur connaissance des bordeaux et le plaisir de les faire partager à leurs clients nous ont donné envie de les associer à la manifestation », commente Laurent Maupilé, délégué général de Bordeaux Grands Événements.
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Jean-Claude Poitras appose sa griffe sur une gamme de vin en épicerie, par Yves Mailloux
La collection de Jean-Claude Poitras: des vins qui ont de l'étoffe!
«C'est le 12 juin dernier qu'étaient mis en marché 5 vins sous la marque «Beaux-Arts Beaux Vins» et dont les étiquettes ont été créées par le designer québécois de renommée internationale Jean-Claude Poitras. Je les ai pour vous goûtés.»_Yves Mailloux
Sauf erreur, je suis le tout premier chroniqueur vin à faire un compte-rendu sur ces 5 nouveaux vins. Vous pourrez dire que vous l'avez lu en premier dans le Huffington Post Québec.
Lorsqu'une personnalité connue (vedette, artiste, sommelier, chroniqueur, etc.) met son nom sur une bouteille, je conviens que la plupart du temps, le résultat est souvent moyen, voire décevant. Ayant de l'estime pour la longévité, la versatilité et la qualité de la carrière de M. Poitras, allais-je être déçu par les vins qu'il avait endossés?
Outre son amour des belles choses, je savais notre homme épicurien, c'est-à-dire amoureux de la bonne chère et du bon vin, mais avait-il fait de bons choix?
Et si je vous dis que ces vins sont vendus en épicerie, vous penserez certainement que les carottes sont cuites. Pas si vite.
NOTE DE L'ÉDITEUR
Afin de ne pas enlever du Punch à l'excellente chronique du collègue Yves Mailloux, je vous laisse découvrir les raisons de cette implication de notre créateur de mode Jean-Claude Poitras, ainsi que ces vins dégustés par Yves et moi-même, car nous étions sur place, lors du lancement du Provigo Le Marché à Boucherville!
Vin blanc
- L'Oiseau de Nuit, Trebbiano d'Abruzzo, 2012, Italie, 17,96$ (Bio)
Vins rouges
- Y'a d'la Rumba dans l'Air, Malbec, Vallée du Lot, 2012, France, 16,96$
- Les Jours Heureux, Montepulciano d'Abruzzo, 2009, Italie, 17,96$ (Bio)
- La Vita è Bella, Torgiano Rosso, Ombrie, 2012, Italie, 16,96$
- Tout Feu Tout Flamme, Vallée de Colombia, Whashington, États-Unis, 16,96$
Suivre ce lien pour lire la chronique d'Yves Mailloux!
Le travail du vin, est celui d'une fourmi
Le succès des vins français à l'étranger n'est pas un hasard!
Dès 1925, un salon des vins est organisé à Fleurie, un cru réputé du Beaujolais. Auparavant, la "foire régionale des vins d'Alsace" à Colmar prend naissance à la sortie de la guerre de 1870. Encore plus vieux, deux lettres patentes de Louis XI octroient le 9 février 1476 deux foires aux vins à la ville d'Amiens, l'une à la Saint-Rémy, l'autre à la Saint-Nicolas. Très naturellement, lorsqu'il a fallu promouvoir les vins à l'étranger, la Sopexa (Groupe marketing international, alimentaire vin & art de vivre) s'est mise à organiser des voyages de producteurs dans les salons. "J'organise une quinzaine de voyages par an, rituellement le premier semestre vers l'Europe et l'Asie, le second semestre vers le continent américain et l'Australie, avec le soutien des bureaux Sopexa dans le monde ou des contacts locaux", précise Fabienne Le Goc.
En 2014, en mars, la Sopexa emmène tout son petit monde au salon Prowein à Düsseldorf en Allemagne, puis au Wine&Spirit de Singapour en avril, à Vinexpo Asia à Hongkong en mai, à la London Wine Fair à Londres en juin, entre autres. Elle profite des grands salons étrangers, mais aussi des autres grandes manifestations françaises. Ainsi Vinexpo, qui organise un grand salon international de vins et spiritueux à Bordeaux tous les deux ans depuis 1981, s'est mis à exporter son savoir-faire depuis 1998, avec, par exemple en 2014, Vinexpo Asia à Hongkong.
Les salons, que l'on appelait autrefois foires ou marchés, ont une très longue histoire. Ainsi la foire de Champagne doit son succès, dès le XIIe siècle, à son hébergement par les comtes de Champagne qui assurèrent la sécurité des marchands. Beaucoup de villes doivent d'ailleurs leur réputation aux succès de leurs foires. "Ce rendez-vous périodique entre vendeurs et acheteurs, en des lieux fixes, avec des garanties d'une organisation spéciale" selon les mots de P. Huvelin en 1897 fait florès depuis plus d'un millénaire. Ainsi, sous le prétexte de récompenser les agriculteurs méritants, Napoléon crée dès 1805 ce qui deviendra le Salon de l'agriculture. Le vin fait naturellement partie de ces rendez-vous. C'est à l'occasion de l'Exposition universelle de Paris en 1855 qu'est créé le fameux classement des crus du Bordelais, en particulier pour se distinguer de la concurrence du bourgogne et du champagne. Lorsque la foire de Paris se crée en 1904, le vin possède son pavillon.
NOTE DE L'ÉDITEUR
Ce travail de fourmi s'adresse à tous les pays vinicoles confondus. De plus, tous les intervenants sont chacun un maillon de la chaîne. Si un maillon ne fait pas le travail comme il faut, la chaîne s'écroule tôt ou tard!
Ils ont oublié le travail des démarcheurs que sont les représentants de ventes, les conseillers en vins, les sommeliers, les oenologues...Sans oublier le travail acharné des vignerons. Comme vous le constatez, chacun a son rôle à jouer!
TV-Les cuisiniers au Québec en arrachent!
Des conditions difficiles pour les cuisiniers du Québec
Le métier de cuisinier a été popularisé ces dernières années par nombre d'émissions télévisées, notamment celles où des concurrents s'affrontent, comme Les Chefs, diffusée à ICI Radio-Canada Télé.
Bien que stimulant et exigeant, le métier de cuisinier a son lot de défis au quotidien. Chanel Boucher, cuisinière de formation ayant oeuvré dans de nombreux restaurants, dont le réputé Toqué!, a jeté une fois pour toutes son tablier samedi soir. Elle n'en pouvait plus des conditions de travail après une dizaine d'années en service. « Chaque fois que les gens s'amusent, nous on est en train de travailler et rarement à un salaire très élevé », estime-t-elle. La chaleur, les risques de blessures et le manque de respect des employeurs l'ont mise à bout de souffle. « Je n'avais pas le temps de prendre une gorgée d'eau et j'avais l'impression de courir le marathon. »
Cette situation est bien connue dans le milieu des cuisiniers, où le salaire médian se situe à 12 $ l'heure, selon les dernières données du gouvernement du Québec. Le salaire minimum dans la province est de 10,35 $ l'heure. Pourtant, le métier fait partie des plus populaires au Québec. Environ 55 000 personnes étaient employés dans les cuisines en 2012. Et les restaurateurs peinent à recruter des cuisiniers qualifiés. Le copropriétaire des bistros L'État-Major et Le Quartier général à Montréal, Dominic Laflamme, reconnaît s'être ajusté afin de retenir ses travailleurs. « La recherche de cuisiniers est très difficile, explique-t-il. Quand tu trouves quelqu'un de bien, tu trouves les moyens de le garder. Chez nous, le salaire est quelques dollars au-dessus de la moyenne. Ça fait toute la différence. »
Son sous-chef cuisinier, Hervé Djian, ajoute également que la notion de respect l'encourage à demeurer dans l'établissement. « Je pense qu'on est mieux considéré ici. Déjà, on a le droit de parole et surtout, le droit d'écoute », dit-il.
Les conditions difficiles en restauration font l'objet de débats depuis de nombreuses années. Le cuisinier et ancien professeur Jean-Paul Grappe a milité longtemps pour la reconnaissance professionnelle du métier. Trop peu de restaurateurs, à son avis, exigent des cuisiniers qu'ils possèdent un diplôme professionnel, ce qui dévaloriserait le métier. « Le gouvernement dépense beaucoup d'argent dans les écoles pour former. Et malheureusement, après cinq années sur le marché du travail, il en reste 8 % », constate-t-il. Il estime que les quelque 1300 diplômes décernés chaque année par le ministère de l'Éducation ne servent ainsi à rien dans ce contexte.
Mais les limites sont grandes pour en arriver à une telle reconnaissance. Le restaurateur Dominic Laflamme explique ainsi le problème qui touche l'industrie : « Si j'accepte de payer les cuisiniers plus cher, il va falloir que j'augmente le prix de mon menu et je ne serai plus dans la compétition du tout. »
Source: Radio-Canada du 30-7-2014
NOTE DE L'ÉDITEUR
Tant que les cuisiniers ne seront pas reconnus officiellement par le Gouvernement du Québec, en tant que cuisinier professionnel et non comme domestique, on va continuer à manquer de personnel qualifié et on n'est pas sorti du bois!
Christian Faure M.O.F à Montréal
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Les Inconnus Célèbres rendent un hommage aux commerciaux
Les Inconnu(e)s Célèbres rendent un hommage aux commerciaux
Les Inconnus Célèbres ont été lancés en 2004 pour rendre hommage à des célébrités louangées dans leur domaine, mais inconnues du grand public. Au fur et à mesure des années, le concept a évolué. En décembre 2008, la chocolatière Geneviève Grandbois fût alors honorée.
Le site de Samyrabbat.com et les Inconnu(e)s Célèbres sont fiers de poursuivre cette mission en créant un hommage aux commerciaux du monde des réseaux de l’agroalimentaire, des alcools et de l’hospitalité.
Le travail de la représentation est une des clés vitales du succès des marques de produits, et de la propagation des nouveautés sur le marché. C’est une profession difficile, mais tellement enrichissante sur le plan humain.
Cet hommage qui se veut une reconnaissance par leurs pairs, a pour but de les honorer pour leur travail acharné, leur passion et leur patience. Ces représentants sont des ambassadeurs des marques de leurs produits et d’excellents conseillers auprès de leurs clientèles.
Les agences de vins, les manufacturiers, les détenteurs de permis, et toutes autres entités intéressées pourront s’afficher sur la page des inconnus célèbres, selon les espaces publicitaires disponibles.
Vous êtes donc invités à me faire parvenir les noms de représentants commerciaux auxquels vous songez, afin que le futur comité de sélection puisse prendre en considération toutes les candidatures, et ce dès janvier 2011.
Je porte à votre intention que la photo des candidats sélectionnés accompagnera les entrevues qui paraitront en permanence sur le site de Samyrabbat.com
Entre temps, une nomination sera sur le site pour lancer la saison automnale !
Dans l’attente de vos nouvelles, et vous remerciant de votre fidélité envers ce site. Voici le lien sur les inconnus célebres du site jusqu'à maintenant!
Samy Rabbat
Historique des Inconnus Célèbres
Les Inconnus Célèbres ont été relancés en 2010 pour rendre hommage à des célébrités louangées dans le domaine des vins et spiritueux, mais inconnues du grand public. Au fur et à mesure des années, le concept a évolué.
Voici la listes des quelques personnes honorées, dans le cadre de cet hommage:
- En 2010, Marguerite Aghaby de LBV International, maintenant avec Sélection de Vins Fins
- En 2011, Claude Simoneau
- En 2012, Rodrigue Lebel des Distilleries Corby
- En 2013, Benoit Simard de l'agence Marchand de Vin
Le concept initial revient à Gérard Spitzer, qui avait lancé le magazine Gault & Millau dans les années 70-80 au Canada!
Le site SamyRabbat.com et Les Inconnus Célèbres sont fiers de poursuivre cette mission en créant un hommage aux commerciaux du monde des réseaux de l’agroalimentaire, des alcools et de l’hospitalité.
Cet hommage, qui se veut une reconnaissance par leurs pairs, a pour but de les honorer pour leur travail acharné, leur passion et leur patience. Ces représentants sont des ambassadeurs des marques de leurs produits et d’excellents conseillers auprès de leurs clientèles.
Samy Rabbat
Éditeur
L’ITHQ à la recherche de ses diplômés pour son 50e anniversaire
Si vous êtes comme moi diplômé de l’ITHQ, vous savez peut-être que l’institution fêtera bientôt son 50e anniversaire. Pour cette occasion, l’équipe ithquoise s’est donné le défi de reprendre contact avec le plus grand nombre possible d’anciens étudiants.
« On souhaite leur donner la chance de participer aux célébrations et, surtout, de retrouver leurs anciens collègues de classe et professeurs! » m’a dit Marie-Claude Simard, directrice du Bureau des diplômés et elle-même une ancienne de l’ITHQ.
Des avantages exclusifs
Entièrement gratuite, votre inscription au Bureau des diplômés de l’ITHQ vous donnera droit à de nombreux privilèges, dont des réductions exclusives sur des services (restaurants, hôtel, perfectionnement), la possibilité de participer à des activités de réseautage et l’accès à des offres d’emplois.
Que vous soyez au Québec ou à l’étranger, actif, retraité ou désormais dans un tout autre domaine d’emploi, vous faites encore partie de la grande famille ithquoise. Donnez-leur de vos nouvelles et passez le mot dans votre réseau!
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Mission accomplie pour Vincent Lafortune avec son Salon international des vins et spiritueux de Québec
Le Salon international des vins et spiritueux de Québec, présenté par la SAQ, en collaboration avec Radio-Canada ainsi que ses partenaires majeurs: Desjardins, Fairmont Le Château Frontenac, Le Soleil, Éduc'alcool et Exquis, peuvent être fiers de l'exploit de Vincent Lafortune et ses porte-paroles, soit Jessica Harnois & Patrice Plante.
En plus, sans être le porte-parole officiel, François Chartier s'est mis de la partie, pour compléter le duo de Jessica et Patrice.
Un grand salon comme celui de Québec se devrait d'avoir lieu aux deux ans, réunissant les fidèles producteurs de vins qui se déplacent pour chaque édition, les agences promotionnelles, les distillateurs locaux, les microbrasseries, les écoles de formation en restauration, les ambassadeurs de marques vinicoles, les fromagers, les chocolatiers, les boulangers.
Voici en rafales quelques notes:
Nicolas Galy, des vins Gérard Bertrand, était très heureux d'avoir rencontré Yan Janvier, le sommelier volant qui était au kiosque des vins du Sud-Ouest, eux qui pratiquent le même sport, le rugby. De plus, ils étaient face à face avec leur kiosque.
Dégusté les excellentes charcuteries que Brigitte JeanJean nous offrait au kiosque de l’agence Select Vins. Elle est tellement souvent au Québec, qu’on a l’impression qu’elle habite ici.

Une nouvelle profession en vue avec le valet cireur, qui était mandaté par l'agence Mark Anthony pour faire la promotion du cabernet sauvignon Gentleman Collection.
Renoué avec l'absinthe concoctée par Jean-Philippe Doyon, de l'Absintherie des Cantons, et représentée par l'agence Bella Vita Grands Crus.
Rencontré entre autres Julie Aubé, auteure du livre de découvertes "Prenez le champs avec moi", qui est un indispensable pour découvrir et en apprendre davantage sur nos producteurs locaux.
Bu à grandes lampées les cocktails "Black Fly" aux jus de pamplemousse et de citron. Le goulot est plus large afin de glisser un glaçon et ces produits contiennent du sucre de canne, avec un petit 7% d'alcool.
Revu le nouveau Roger Thibeault, ex-SAQ, qui a rajeunit de 20 ans et qui travaille maintenant au Cercle Vinicole du Québec, sous l'égide de la Fondation du CHU de Québec.
France Lamoureux, de l'Agence PF/Beaux-Arts Bons Vins inc., aurait bien aimé faire découvrir les excellents vins en épicerie de Jean-Claude Poitras…
Revu avec plaisir les Ambassadeurs non officiels des vins de la Bourgogne et de Bordeaux de Québec, en l’occurrence Jean-Pierre Lortie, Conseiller en vin de la SAQ pour la Bourgogne et Sylvain Pageau, propriétaire du restaurant Le Continental.
Alain Laliberté, enseignant en sommellerie à l'École hôtelière de la Capitale et chroniqueur sur SamyRabbat.com, était au kiosque des vins grecs de la région de Péloponnèse.
Une nouvelle agence qui porte un nom original: "Importations Sans Nom", dirigée par Vadim Fonta.
Yolande Masse, de l'agence Juste des Bulles, faisait la promotion de toutes ses bulles, incluant un mousseux en cannette de la région de Niagara, en Ontario.
Merci à Lauren Ray, de la région de la RIOJA, pour ces beaux sacs offerts durant tout le salon.
Mario Lamarre, ex-SAQ de Trois-Rivières, m'a fait découvrir un vin aromatisé aux poires.
Raymond Nantel, représentant la maison Batasolio, représentée par Charton-Hobbs, a fait un malheur avec son mousseux, vendu en IP.
Pénélope Irving nous faisait redécouvrir les vins Henry of Pelham.
Siroté le rhum Trois-Rivières, représenté par Julie Goyer de l'agence Divin Paradis.

Même la Confrérie du Rhum (Quebecrhum.com) était présente avec Maxime Fortier, à titre de visiteur.
Alfred, l'expert en vin, offre maintenant un service de vente de caves de vins entre les membres et ce, autorisé par la SAQ.
Simon Gagné, le nouveau conseiller aux ventes, était présent avec Julie Montreuil au kiosque de VINUM.
Le seul hôtel présent à titre d'exposant était le Saint-Sulpice de Montréal, représenté par Sylvie Parent et Michael Frezza, le nouveau directeur des ventes.
L'apéritif Le Ricaneux est en constance évolution avec une nouvelle variété de produits et de nouveaux habillages, sous la direction de Nathalie Mc Isaac.
La brasserie New Deal Brewing Co., qui lancait la fameuse Boldwin avec sa mission sociale, était représentée par un ex du domaine vinicole, soit François L. Tarte.
Bu la bière sans alcool Grolsch, représentée par CDL, qui a fait des malheurs

Mario Néron, de l'agence Importation Vinero, était présent avec toute une équipe à son kiosque très fréquenté.
Olga Coronado Mijangos, de Choco-Mango, et qui a son usine à Val-d'Or, était présente avec son kiosque pour faire déguster ses chocolats, en alliance avec les vins.
Durant deux jours, j'ai arpenté ce salon de long en large, en rencontrant et en discutant avec de nombreuses personnes, que je revois comme un film et que je ne pourrais jamais toutes vous nommer ici. J’en suis fort désolé, mais sachez-que j’étais très heureux de vous revoir.
Franchement, un magnifique salon des vins, un programme bien étoffé, des conférences à gogo de qualité, un public averti et anxieux de tout découvrir.
Chapeau Vincent Lafortune!
Samy Rabbat
Partenaire Média du Salon



