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Montréal ne veut plus de véhicules motorisés en faisant payer toutes les places de stationnement au nom de l'équité

Montréal ne veut plus de véhicules motorisés en faisant payer toutes les places de stationnement au nom de l'équité

NOTE DE L'ÉDITEUR
Après tout, l'automobiliste, en achetant sa voiture, paie des taxes aux deux paliers gouvernementaux, ensuite il paie sa plaque, son permis, met de l'essence ou se branche à l'électricité, sans oublier les taxes y étant rattachées. Finalement, les automobilistes ont financé les routes et les infrastructures. Maintenant on veut s'en débarrasser!!!

 

Montréal devrait progressivement rendre payantes toutes les places de stationnement sur le bord de la rue d’ici 2035 et remettre une partie des fonds pour financer la mobilité durable, juge le Conseil régional de l’environnement de Montréal.

Près de 450 000 places de stationnement sur rue qui sont offertes gratuitement ou tarifées avec le système des vignettes pourraient ainsi devenir payantes.

«On pense que la Ville doit cesser cet encouragement à la voiture pour privilégier d’autres services publics qui ont besoin de ressources», explique Blaise Rémillard, responsable mobilité et urbanisme au Conseil régional de l’environnement (CRE) de Montréal.

Il s’agit d’une des 23 mesures proposées par cet organisme dans son «livre blanc» sur le stationnement.

Lire la suite: Journal de Montréal du 6 mars 2023

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L'État québécois aura prélevé 3,5 milliards $ dans les poches des automobilistes du Québec, dont 2,2 milliards $ en taxes sur les carburants, au terme de l'année 2013-2014.

À Montréal, les automobilistes paient une taxe supplémentaire de 3 cents le litre qui génère 97 millions $ dans les coffres de l'Agence métropolitaine de transport.

Source: Journal de Montréal du 19 mai 2013